samedi 29 décembre 2007

Les inventions concernant le tissage sur soie

Les inventeurs qui au fil du temps ont perfectionné le métier à tisser ne manquent pas dans la région. Par la force des choses le textile a donné naissance également à l’industrie chimique et dans ce domaine, les idées géniales n’ont pas manquées.

Le très médiatique Joseph Marie Jacquard ne fut pas le seul à vouloir améliorer le fonctionnement des métiers à tisser. En 1470, Jean le Calabrais supprime les tireurs de lacs en ramenant les cordes plus proches du tisseur. Au début du XVIIème siècle, le Lyonnais Claude Dangon invente le métier à la grande tire pour lequel il obtient d’ailleurs, un privilège. Une invention qui porte le nombre de lacs, ces cordons déliés, de 800 à 2400. Resté méconnu, Garon vers les années 1700 perfectionne ce métier avant que Basile Bouchon n’invente un papier perforé à la main qu’un enfant, applique contre le métier. Ce système permet la sélection des fils de chaîne.On lui doit également un métier fonctionnant avec des aiguilles. A la même époque Falcon va remplacer le papier de Bouchon par une chaîne de cartons perforés. En 1745, Jacques Vaucanson, un « touche à tout » génial, père des automates, s’intéresse au métier à tisser. Il va le mécaniser en reportant les mouvements dans la partie supérieure. Hélas pour notre Grenoblois, on trouve ce procédé peu productif et il ne sera pratiquement pas utilisé. Arrive alors Philippe de Lassalle, né à Seyssel, surtout connu pour être « le premier dessinateur de Lyon » d’après les chroniqueurs de 1760. Dans son atelier de la rue Sainte Catherine, il va avoir l’idée de rendre les semples (l’ensemble des cordes, plus tard les crochets) interchangeables et d’appliquer le battant de John Kay, l’inventeur de la première navette volante, au métier à tire. En 1804, arrive Jacquard…et son métier. En 1817 Breton va créer la pièce coudée, pièce essentielle dans sa mécanique.
Tissage et chimie sont indissociable, la soie se teint. Hommage à Octavio Mey, négociant lyonnais. En 1655 il va mâchonner quelques brins de soie dans sa bouche. Un gamin aurait été réprimandé, Octavio lui, va faire fortune. Il vient d’inventer le lustrage de la soie. Moins de chance pour Emmanuel Verguin, savoyard et chimiste à Lyon. En 1858 il invente le rouge aniline mais ne dispose pas des capitaux nécessaires pour son développement industriel. Il vend son brevet aux frères Renard de Mulhouse qui eux, appelleront ce produit… la fuschine… de « fusch », « renard » en allemand !
Aujourd’hui la première région d’entreprise textile continue d’innover. Prelle invente deux nouvelles techniques pour des tissus anti-feu et des broderies tissées, les établissements MDB-Texinov basés à la Tour du Pin viennent de créer un tissu qui posé à même le sol permet une solarisation du raisin. Sans parler du challenge ITECH qui révèle chaque année des chercheurs dans le domaine du textile industriel.

Joseph Marie Jacquard de la taille de la pierre au métier à tisser

Né à Lyon le 7 juillet 1752, il décède le 7 août 1834 à Oullins. S’il fut tailleur de pierre à Couzon, sa renommée est due à son idée géniale de tenir compte des diverses autres inventions pour créer son métier. Une combinaison des aiguilles de Bouchon, des cartes de Falcon et du cylindre de Vaucanson. Le tout devient une mécanique qu’il faut placer en haut du métier, ce qui va obliger les tisseurs sur soie à quitter les quartiers Saint-Georges, Saint-Paul et Saint-Jean pour les hauteurs de la colline croix-roussienne. Les immeubles ateliers seront construits avec des hauts plafonds. Cette mécanique donne au tisseur la possibilité de commander individuellement les fils de chaîne, il a donc à sa disposition un nombre d’armures…infini.


Les Canuts et les inventions sur les métiers

Il n’y aura pas de répit pour les inventeurs lyonnais. Ces quelques annonces parues dans l’Echo de la Fabrique entre 1831 et 1834 le montre assez bien
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Le sieur DUCHAMP, aux Brotteaux, rue d’Orléans, n. 7, ayant trouvé une amélioration très utile à la presse des Jacquard, en fait part à ses confrères, chefs d’ateliers. Il les invite à venir chez lui ; il leur démontrera et prouvera les avantages de cette invention dont il se sert depuis deux ans. Cette nouvelle presse n’agit qu’en remontant ; son action est nulle en redescendant. Il s’est assuré la jouissance exclusive de fabrication pour cinq ans, en faisant un acte de dépôt conformément à la loi. Il apposera sa contremarque J. D. sur chaque presse que fera le sieur Ribard, mécanicien forgeur (passage Thiaffet, Grande Côte), lequel est chargé seul de cette fabrication. Il poursuivra, comme de droit, les contrefacteurs.
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Le sieur Pacachard, chef d’atelier, demeurant rue Bouteille, n° 15, au 4me étage, 2me montée, a trouvé le moyen de fabriquer les velours crevelt, et depuis quinze mois le fruit de ses recherches est et demeure enfoui dans les archives du conseil des prud’hommes sans que l’inventeur ait pu en tirer parti ; acte de dépôt pour un temps limité est entre ses mains.
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Tranchat, mécanicien, rue du Commerce, n° 18, vient d’obtenir un brevet d’invention et de perfectionnement, pour la confection de mécaniques à la Jacquard et à dévider, longues, rondes et moulinage.Nous en rendrons un compte plus détaillé dans le n° prochain ; on peut voir ces mécaniques chez M. Morel, rue des Tables-Claudiennes, n° 14
CANNETIÈRES TRANCHAT.
Depuis quelques années diverses mécaniques ont été inventées pour le dévidage et le cannetage. Mais un perfectionnement, dont le besoin se faisait vivement sentir vient d’être ajouté aux cannetières. Son invention est due au sieur Tranchat, mécanicien, qui en a obtenu le brevet. Ce perfectionnement consiste à arrêter la cannette subitement lorsqu’un des brins casse ou que la soie d’un roquet est employée, en laissant toujours une longueur de huit pouces pour nouer. Par ce moyen, les faux tours aux cannettes sont impossibles, et l’attention pour soigner le nombre des bouts n’est point fatiguée ; toute personne, même un enfant, peut sans peine, sans gâter ni salir la soie, faire parfaitement, en quatre heures de temps, autant de cannettes qu’à un rouet pendant toute la journée. Outre cet inappréciable avantage, il en est un autre qui ne laisse rien à désirer pour la perfection des cannettes, c’est la disposition de la cantre, qui permet, en chargeant les roquets, de tendre la soie à volonté. Par ce moyen on étendra les trames dures, gros noir ou souples, elles deviendront lisses et brillantes, et l’étoffe, en diminuant de poids, prendra tout l’éclat dont elle est susceptible. Le crémage, les trames tirantes sont impossibles par l’emploi de ces canettes. Ces mécaniques procurent donc une grande économie de temps et de matières, non seulement pour le cannetage, mais encore pour la fabrication ; l’ouvrier n’étant jamais arrêté par les défauts de la cannette, tissera plus facilement et plus régulièrement. Ainsi, en rendant l’étoffe plus belle et moins lourde, le fabricant y trouvera aussi son bénéfice, et nous ne craignons pas d’avancer, parce que nous en avons les preuves, que ce dernier peut, avec bénéfices, faire une augmentation de 5 et même de 10 c. par aune, sur les étoffes fabriquées avec les cannettes provenant de ces mécaniques.
Ainsi on peut donc, sous tous les rapports, considérer l’invention des cannetières comme une véritable amélioration dans la manutention de la soie et de la fabrication des étoffes. Son introduction immédiate dans la fabrique, supprimerait entièrement le rouet à cannettes, dont l’usage remonte à l’époque la plus reculée de l’invention du tissage, et avec lequel on ne fait péniblement qu’une seule cannette à la fois. Véritable galère pour les enfants, que la misère du père de famille force à captiver trop jeunes à ce travail ; travail qui, en les privant de l’éducation qui leur est due, les rend souvent difformes ou bossus par la mauvaise position de leur corps, étant obligés de tourner continuellement et d’une seule main, une roue ce, qui ne laisse pas d’être fatigant. L’humanité réclamait donc depuis longtemps un nouveau mode pour le cannetage, et nous avons lieu d’être surpris, après tant de mécaniques inventées pour la fabrication des étoffes façonnées, que celle qui permet de supprimer l’insipide rouet, soit venue la dernière.
Les cannetières du sieur Tranchat, répondent à tous les besoins, espérons que les avantages seront compris des fabricants et des chefs d’atelier, il est de l’intérêt des premiers d’aider les seconds a s’en procurer, et dans peu tous les ateliers posséderont des cannetières, tous y trouveront avantage et l’ouvrier aura la satisfaction de pouvoir faire instruire ses enfants.
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Le sieur David, mécanicien, à Lyon, place Croix-Pâquet, prévient MM. les fabricants, chefs d’ateliers et devideuses, qu’il établit ses nouvelles mécaniques économiques, pour lesquelles il est breveté, à une seule roue comme avec plusieurs, avec une seule corde comme sans corde, par le procédé des roues tournant horizontalement, dont le plan circulaire fait mouvoir les broches, l’axe général ou moteur ayant été par lui placé au centre des mécaniques rondes à dévider et à faire les cannettes, moyens qui lui ont fait supprimer sur l’ancienne méthode, engrenage, cordages, poulies, etc., et lui a donné la facilité d’y adapter le cannettages simultané. Toutes mécaniques de ce genre qui ne sortiraient pas de ces ateliers seront confisquées, les contrefacteurs poursuivis. Il adapte ces nouveaux procédés aux anciennes mécaniques, fait des échanges contre les vieilles, et revend ces dernières à un prix modéré. Le nombre d’ouvriers qu’il occupe le met à même de livrer plusieurs mécaniques le jour même qu’on lui en fait la commande. Elles s’établissent à volonté, de forme ronde, longue ou en fer à cheval. Les roquets et cannettes se font de trois formes différentes, si on le désire, bombés, cylindriques et en pain de sucre. On peut régulariser le mouvement des broches, ou leur donner des mouvements différents pour dévider les matières fortes et faibles.
M. David, fabricant d’étoffes de soie, annonce avoir trouvé le moyen de substituer le papier au carton dans les mécaniques à la Jacquard. Il a demandé un brevet d’invention. Nous ne savons pas encore jusqu’à quel point cette invention peut être vraie et satisfaisante.
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Brevet : Machizot, rue du Chariot d’Or, à la Croix-Rousse, et Molozait, rue Vieille-Monnaie, n. 8, offrent aux chefs d’atelier des mécaniques à cannettes à arrêt sans soterelles ; ils en font d’une dimension beaucoup plus petite que celles faites jusqu’à ce jour.
------------------------------------------------------------------------------------------------ROUSSY, Breveté.Prévient le public qu’il continue de vendre les régulateurs comptomètres de son invention dont les principales qualités sont : 1° d’être simples, de n’avoir point de compensateurs et de pouvoir faire toutes sortes d’étoffes fortes ou légères ; 2° de faire toutes les réductions depuis 20 jusqu’à 750 divisions au pouce, inclusivement ; 3° ces régulateurs tiennent toujours la pièce tendue, même dans l’instant où l’on fait une coupe, laquelle peut être d’une longueur à volonté, l’étoffe étant libre et l’ouvrage tout compté ; 4° les étoffes ne se roulant pas, elles ne sont pas comprimées ; aussi les étoffes brochées or, relevées, y conservent tout leur relief et acquièrent une grande perfection.Le sieur Roussy se dispense de rappeler tous les éloges et encouragements qu’il a reçus à ce sujet ; il offre aux personnes qui voudront en prendre connaissance, de leur faire voir ces mêmes régulateurs comptomètres fonctionnant dans son atelier, rue des Marronniers, n° 5, au 2e, seconde montée.
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perfectionnement dans l’éclairage.
Une importante amélioration vient d’être faite dans l’éclairage dont on se sert dans tous les ateliers de fabrique. M. Fassler, chef d’atelier, après de nombreuses recherches, est enfin parvenu à donner aux mèches pour les lampes un apprêt dont les avantages suivants sont le résultat : 1° La clarté que l’on obtient par l’emploi de ces mèches est le double plus grande que celle rendue par le procédé actuel ; 2° elles suppriment la fumée, ce qui est d’une grande importance pour la fabrication des étoffes claires ; 3° elles ont l’avantage de n’avoir jamais besoin d’être mouchées ; au point qu’une lampe garnie d’une de ces mèches, et qui contiendrait une livre d’huile, peut brûler sans que la clarté soit altérée et sans faire le moindre mouchon. Enfin, elles offrent une économie d’un 8e dans la consommation de l’huile.
Tous ces avantages réunis doivent assurer à M. Fassler un prompt débit de sa découverte, et nous engageons les chefs d’atelier à encourager l’industrie d’un de leurs confrères par l’adoption d’un procédé aussi économique.
Les dépôts de ces mèches, à 25 c. l’aune, sont aux Brotteaux, chez l’inventeur, rue de Condé, n° 5, et à Lyon, chez M. Michel, marchand de vin, rue Désirée.
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lampe météore.
Le sieur Galland fils, ferblantier, rue des Farges, n° 112, prévient le public qu’il est l’inventeur de la Lampe météore, qu’il vient de déposer au conseil des prud’hommes qui, par ce dépôt, l’a autorisé à en conserver la propriété pendant cinq ans. Cette lampe, qui se fabrique de diverses formes, en fer-blanc, étain et cuivre, offre de grands avantages ; d’abord elle ne donne aucune ombre, sa clarté est du double de celles qui ont été en usage jusqu’à ce jour ; mais, ce qui la rend indispensable aux chefs d’ateliers, c’est qu’elle ne consomme qu’une once et demie ou 45 grammes d’huile en sept heures.
Ses dépôts sont :
Chez MM, Bel, négociant, rue des Capucins, n° 7 ;Paquet, épicier, rue Vielle-Monnaie , n° 27 ;Schuslre, plieur, rue Donnée, n° 4, au 4me ;Mougeol, menuisier, rue Belle-Lièvre, près la place de la Trinité ;Galland aîné, ferblantier, place du Plâtre, n° 4 ;Peyzaret, rue d’Orléans, n° 7, aux Broteaux.
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Le sieur ROSTAING, mécanicien de Paris, inventeur des métiers au quart, demeurant rue du Mail, n° 4, à la Croix-Rousse, a l’honneur de faire connaître à MM. les chefs d’atelier qu’il vient de perfectionner de nouveau ses rétrogradans, employés avec avantage jusqu’à ce jour à Paris et à la fabrique de la Sauvagère, où il a été employé pour ce genre d’industrie. Ce nouveau système consiste a régler la rotation par le moyen d’une simple vis, et faciliter le travail de l’ouvrier par son extrême justesse et par la douceur de la bascule qui enlève les valets. Il confectionne également les crochets pour les changement de griffes ; se charge de les placer et en garantit l’exécution ; le tout à juste prix.
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BREVETS D’INVENTION (janvier 1832)
Par une ordonnance royale du 7 octobre, insérée au Bulletin des Lois, n° 111, il est accordé des brevets d'invention à diverses personnes de notre ville, savoir :
M. Jaillet jeune (Claude), liseur de dessins, montée St-Sébastien, n°11, pour une mécanique propre à fabriquer toutes sortes d'étoffes façonnés.
M. Felissent (Ennemond), rue St-Polycarpe, n°3, pour un appareil de dessication par l'air, échauffé directement par le feu.
M. Ducel (Basile), mécanicien-chimiste, rue Mercière. n° 58, pour des moyens de confection de calorifères, propres à la dessication des soies teintes, des tissus en soie, en laine et en coton, ainsi que pour le dessèchement des gélatineux et des colles fortes.
M. Courtet (Auguste), mécanicien, rue de la Sphère, n°10, pour une mécanique propre au crépage des étoffes de soie, coton ou laine moulinés, qu'il nomme crêpe-crêpe, régulier et perfectionné.
MM. Morateur (Antoine), charron, et Thibaudon (François), boisselier. à la Guillotière, pour un procédé propre à faire monter par une ascension constante, oblique ou verticale, un volume d'eau de seize cent, de diamètre, à la hauteur des édifices les plus élevés, même des montagnes ordinaires, à l'aide d'une pompe à vent.
M. Moasset (Philibert), mécanicien, rue Vieille-Monnaie, n°8, pour des mécaniques propres au dévidage des soies.
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Parmi les nouveaux procédés qui sont destinés à rendre un grand service à la classe industrielle par une amélioration sensible qu’ils apportent dans le travail, nous devons citer l’invention des nouvelles bascules-rouleaux, très simples et de la plus grande justesse, offrant de nombreux avantages sur toutes celles mises en usage jusqu’à ce jour ; elles ont l’immense avantage de pouvoir être employées dans les fabriques de tous les pays, pour toutes les étoffes, n’importe la qualité et la quantité des matières qui sont employées à la chaîne.
Cette bascule est fermée par un rouleau de 6 à 8 pouces de circonférence, ayant un boulon de fer. Au milieu dudit rouleau, de forme carrée d’environ 3 pouces sur chaque surface, se trouve emboîtée une cheville de bois de 18 pouces de longueur, sur laquelle on pose un poids de dix livres, et la chaîne se trouve aussi tirante qu’avec un poids de 40 livres sur les bascules ordinaires.
Avec le nouveau procédé, les cordes passant d’un rouleau à l’autre ne s’usent pas, et le rouleau de la chaîne joue avec autant de facilité qu’avec une besace et n’en donne point l’embarras, puisqu’un poids de dix livres charge, par ce nouveau moyen, autant qu’un de 150 livres à besace.
Cette bascule offre encore l’avantage de ne point dégrader les murs, de ne point embarrasser le derrière du métier ; le bec de la bascule et sa charge étant sur le devant.
Voir, pour ce nouveau procédé, M. Le Cusin, qui en est l’inventeur, et qui en fait usage dans son atelier, rue de Flesselles, n° 6, au 3e
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Vincent, bréveté,
Rue Monsieur, n° 11, aux Broteaux
Prévient les chefs d’ateliers qu’il tient un dépôt de Navettes de tous genres, et est l’inventeur de celles dites cuirassées. Ayant lui-même un atelier, il est à même d’apprécier l’économie et les avantages de ces navettes qu’il a perfectionnées, et qu’il vend à des prix au-dessous du cours. Il pique les rouleaux, garnit les tampias, et se charge des raccommodages, à des prix très modérés.

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