On peut lire dans un numéro de l’Echo de Lyon de 1891 ce billet d’humeur. Toute ressemblance avec la situation actuelle est fortuite, d’autant qu’il ne parle pas des vélos !
« On se plaint vivement de l’envahissement des tables des cafés et des étalages de marchands. Certains industriels abusent véritablement de la tolérance qui leur est accordée en agrandissement ainsi leurs établissements.
Il serait bon de leur rappeler que nos trottoirs ne sont pas faits pour servir de lieu de débarras mais bien affectés aux piétons. »
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